Présentation du projet A non retenu (page 147 de l'étude d'impact)
Il s’agit de « restaurer la vocation naturelle du sited’amener « la nature au cœur de la ville », de constituer un « parc habité ». Les espaces verts sont généreux, beaucoup d’arbres sont conservés de même que le bâti militaire (même si les halles au nord et au sud sont détruites). Un vaste espace vert au nord (le « parc à fourrage ») crée un nouveau parc urbain avec la transformation du « Ruisseau de l’Archevêché » en un petit canal à ciel ouvert avec une terrasse (promenade) qui le domine (image ci-dessus). Le jardin de l’abbaye est bien préservé et une « Promenade de Beaumont » longe la rue Walvein. Le centre est occupé par des terrasses-jardins, des « coulisses naturelle » (prairies plantées) et la « terrasse des Ateliers » (espace public planté de pins sylvestres dans la perspective du boulevard Thiers) tandis qu’au sud on trouve une cité jardin. A l’ouest, la « Promenade de l’Université » forme un mail de tilleuls et de frênes. Cette grande place accordée aux espaces verts permet ainsi une gestion alternative des eaux pluviales (à ciel ouvert). Le projet est donc le moins dense et n’offre que 79 000 m2 de Surface Hors Œuvre Nette (SHON), le bâti reste assez bas. Comme pour les autres propositions, la traversée de la rue Walvein est conservée. En revanche, une nouvelle voie à l’ouest permet de soulager la rue Walvein, ce qui n’est pas le cas des autres projets. Le stationnement se fait en sous-sol semi enterré, ce qui limite l’imperméabilisation et permet de réaliser les logements à la cote 50 m NGF, prenant ainsi en compte le risque d’inondation. |